Rando autour de Chauffailles
Ne dégainant pas aussi vite que Francine (la conteuse) voici tout de même mon récit relatant notre rando, autour de Chauffailles. Quatorze paires de pieds au départ pour une boucle matinale de quatorze bons kilomètres, avalés sans problème particulier ; Un petit air vif s’invite de temps en temps, suivant les lieux où nous nous trouvons, mais il en faut plus que ça pour arrêter les commentaires, les langues ne sont pas crispées par le froid !…De la boue dans certains chemins ou les engins vont et viennent, il faut bien que le travail se fasse !…A chaque sommet gravi, la découverte du panorama s’offre à nous, tantôt St. Igny de Roche, tantôt St. Germain la Montagne (bien loin à l’horizon) puis les monts du Roannais (la Madeleine) et bien sûr, Chauffailles. La boucle matinale s’achève au » restaurant » chez Danièle !…Merci à toi Danièle pour cet accueil et pour le travail que tu as fourni pour nous héberger le temps du repas . Déjeuner au chaud est très appréciable en cette période hivernale. Il nous faut bien reprendre la route pour la boucle de l’après-midi . En cours de chemin, un endroit rappelle de douloureux souvenirs à notre ami Jean Pierre, (l’arbre d’où les frelons ont surgi lors de la marche des noisettes). Pour ne pas paraître rancunier, il a glissé une main dans le trou laissé dans le tronc, après l’intervention des pompiers, histoire de voir s’il ne restait vraiment plus rien ! … La fin de notre périple arrive, après dix nouveaux kilomètres nous procurant toujours autant de plaisir, nous nous quittons, ravis de cette nouvelle journée passée ensemble. A très bientôt pour de nouvelles escapades.
Pierre
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Sympathique récit, merci Pierre (l’espion?) de nous faire constater qu’il est agréable de marcher en cette période hivernale où la nature est belle … et même de pic niquer … et si la chance veut que ce soit, à l’abri … et au chaud, c’est encore mieux. Je peux constater, sur la photo, que les pompiers ont sévi à la tronçonneuse pour évacuer tous les frelons. Quel horrible souvenir. Si j’avais fait partie du groupe, je ne serais peut-être plus de ce monde car je suis allergique à ces bestioles piquantes . Depuis, je marche avec mes antidotes … une marcheuse avertie en vaut deux.
Bonne continuation.