LES PAS TRANQUILLES à MAIZILLY, mardi 14 Février 2023
mardi, c’est la saint Valentin et nous irons amoureusement
poser nos godasses sur le sol maizillon.
Aujourd’hui, ce sont vingt et un cœurs en fête qui s’égaient des voitures. Quatorze femmes, et sept hommes heureux de tout ce soleil, ça sent le printemps.
J’essaye de refaire le comptage, mais comme chacun va et vient… difficile d’avoir tout mon petit monde. Et j’entends : c’est simple, 3 femmes pour un homme, ça fait 21, donc 3 fois 7 nous sommes 21!!!
Bizarre ce compte, dans ce cas, ça nous ferait 21+7 donc 28 marcheurs ?
Aë, aïe, aïe, réflexion faite n’étant que 21 au total, ça nous fait 2 Valentines par Valentin,
oui… pourquoi pas? ce qui n’est déjà pas mal, n’est-ce pas les gars… à nos âges.
Alors, c’est quoi cette fiesta valentine et qui était ce Valentin?
alors, qui nom de d’Zeus? Ch’uis suspendu à tes lèvres!
Et bien c’est tout simple Denis, tu as bien remarqué à notre arrivée sur le lieu de stationnement, un joli cœur en métal blanc qui nous accueillait, portant deux prénoms peints, ceux de Baptiste et de Céline.
A leur époque, on ne parlait pas encore de Valentin et de Valentine, mais ce sont eux les précurseurs de cette fête qui a commencée à Maizilly.
Journée printanière, 15° minimum font tomber les anoraks, ça sent le printemps et on sort plus souvent les bouteilles d’eau pour s’hydrater.
Comme toujours, non, il ne faudrait pas que ça devienne banal… sympathique petite balade pour nous mettre en jambes avec une jolie montée…
Photos de groupe pour immortaliser le moment, car Valentine et Valentin sont là, en personne, Rosette et Denis côte à côte me fait-on, remarquer lors de ma prise de vue.
Le retour se terminant sur un chemin très boueux, nous devons enlever nos chaussures pour enfiler de douces babouches… (car nous devons prendre soin du véhicule qui nous transporte). Et, merveille, distribution de bugnes maison… hummm, c’est trop bon, merci, merci la pâtissière.
PS : Lorsque tu fais des bugnes… tu mets en chauffe une belle bassine de friture… qui embaume ta maison, tes cheveux, tes vêtements… enfin tout quoi… ce qui fait, que lorsque tu as terminé la cuisson, tu n’as plus qu’une envie, ouvrir toutes les fenêtres et prendre une bonne douche/shampoing… pour pouvoir réapparaître en public.
Et oui, dur dur la vie d’une gentille maitresse de maison.
Francine
Merci Francine pour ce joli récit et ces belles photos.